Le copinage sert souvent d’arme fatale à des nuisibles qui s’accrochent les uns aux épaules des autres pour remonter à la surface. Il ne s’agit pas ici de ça. Si je me permets de croiser la ligne blanche de la déontologie, c’est pour la bonne cause, parce que ça s’impose. Suite à un enchaînement de circonstances, j’ai fini la nuit à regarder les films de mon ami Udner, certains que je ne connaissais pas, découvrant des petites perles de nonsense qu'il n'avait pas eu la pudeur d'exhiber.
Depuis trois ans, Udner développe sur son blog (listé plus bas) un humour absurde et décalé où le décalage n’est pas un artifice, un ressort comique, mais une vraie philosophie. Entre Wittgenstein et Gary Larson, parfaitement. Ainsi, ses vignettes voient la légende faire voler en éclat l’image, un graphisme volontairement commun, et les certitudes.
Ses petits films sont encore meilleurs. Comme acteurs, il emploie des objets du quotidien, des jouets, qui, grâce à lui deviennent doués de vie. Tel un entomologiste narquois, il les observe régler leurs dilemmes (à droite ou à gauche ? - ce genre). Parfois, il donne aussi de la personne (voir sur sa page d’accueil).
Fan d’Eddy Mitchell, Paco De Lucia (c’est un bon guitariste quand l’envie lui prend), Clap Your Hands Say Yeah ou Das Efx, il sait utiliser la musique comme un élément à part entière. Il a d’ailleurs des projets de clips, je suis impatient de savoir quand ils seront lâchés dans la nature. Si j’avais un groupe, je le contacterais rapidement pour une vidéo, parce que, pour l’instant, il ne prend pas encore cher.
Plus bas, voici un film de présentation qui résume assez bien ses 3 premières années d’activité. Le meilleur est encore dans sa tête, le saligaud.
Depuis trois ans, Udner développe sur son blog (listé plus bas) un humour absurde et décalé où le décalage n’est pas un artifice, un ressort comique, mais une vraie philosophie. Entre Wittgenstein et Gary Larson, parfaitement. Ainsi, ses vignettes voient la légende faire voler en éclat l’image, un graphisme volontairement commun, et les certitudes.
Ses petits films sont encore meilleurs. Comme acteurs, il emploie des objets du quotidien, des jouets, qui, grâce à lui deviennent doués de vie. Tel un entomologiste narquois, il les observe régler leurs dilemmes (à droite ou à gauche ? - ce genre). Parfois, il donne aussi de la personne (voir sur sa page d’accueil).
Fan d’Eddy Mitchell, Paco De Lucia (c’est un bon guitariste quand l’envie lui prend), Clap Your Hands Say Yeah ou Das Efx, il sait utiliser la musique comme un élément à part entière. Il a d’ailleurs des projets de clips, je suis impatient de savoir quand ils seront lâchés dans la nature. Si j’avais un groupe, je le contacterais rapidement pour une vidéo, parce que, pour l’instant, il ne prend pas encore cher.
Plus bas, voici un film de présentation qui résume assez bien ses 3 premières années d’activité. Le meilleur est encore dans sa tête, le saligaud.
5 commentaires:
Oh bah voilà alors je découvre cette note et je suis tout ému !!! Merci mille fois. Je me suis toujours dit qu'être ami c'était une histoire de perception, je veux dire que l'ami perçoit chez l'autre quelque chose d'essentiel qui se dérobe à toute communication. Et c'est réciproque, mec !
dis donc, les filles, on se calme un peu là..
je prends note du favoritisme, Oslav !!!
Love quand même... ;-))
Ne nous épanchons publiquement, mon ami, certains esprits chagrins y trouvent ombrage. Love, quand même !
oui c'est vrai et en plus je réalise un peu tard quetu m'as traité de fan d'Eddy Mitchell... Fumier, va.
Ah ? Dans ma tête, ce n'était pas une insulte. Enfin, je me souviens cette soirée finie par deux voix (la mienne non comprise) entonnant un medley de monsieur menthe à l'eau. Tu ne paraissais pas dans un état second...
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