Le deuxième, Murder Of Crows (1989), s’avère paradoxalement plus personnel (au niveau des textes) et plus raté. Là, sa maison de disques met des moyens et débauche un sacré gang de requins de studios : Mick Taylor, l’ancien Stones à la guitare, le bassiste Tim Drummond… Tout ce monde s’emploie à bien faire sonner « rock propre » les chansons de Joe Henry qui demandaient un peu de délicatesse. « Cela a été difficile parce que la personne qui m’a signé a été virée dès que je suis arrivé. Ce disque ressemble le plus à un compromis, il sonne plus rock que j’en avais envie », m'avouait-il en 2003.
lundi 17 septembre 2007
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