jeudi 29 novembre 2007
Le Spirit
mardi 27 novembre 2007
Elvis et son buzzer
Jusqu’à maintenant, j’étais complètement passé à côté du trentième anniversaire de la mort d’Elvis Presley. Plutôt une bonne chose d’ailleurs, quelle mascarade (dans dix ans, les quarante ans, youpi, apparemment, l’industrie du disque a besoin de ce genre de béquilles). Cependant, depuis une semaine, cet anniversaire morbide m’a rattrapé grâce au livre de Peter Guralnick, Last Train To Memphis (surtitré Le Temps de l’innocence 1935-1948). La sortie de cet ouvrage par le Castor Astral (13 ans après sa publication américaine) est un événement à lui tout seul. Grand biographe de la musique noire et du rock, Gurlanick a rencontré une centaine de témoins, ayant en tête de « raconter l’histoire en temps réel, permettre aux personnages de respirer à leur propre rythme, éviter de les soumettre à des jugements anachroniques ou d’imaginer des signes avant-coureurs… »
Ce qu’il raconte c’est le destin extraordinaire d’un jeune homme américain ordinaire, le destin d’un fan de musique que personne ne voyait devenir chanteur, le destin d’un gamin de 18 ans qui, par les irrépressibles déhanchements qu’il ne pouvait retenir et ses tenues excentriques, a bouleversé la scène de Memphis, puis le circuit country, les Etats-Unis, le monde, etc. Et tout est parti d'un plouc...
Page 258, Guralnick rapporte sa première visite chez RCA, la grosse maison de disques avec laquelle il vient de signer après avoir été lancé par Sun. Elvis y rencontre plusieurs cadres, un buzzer électrique caché dans la main, envoyant des petites décharges à ceux dont il serre la main. Une certaine Anne Fuchino se souvient : « il m’a serré la main avec son buzzer électrique. Je lui ai dit : “chéri, c’est peut-être très branché à Memphis mais ça ne marchera jamais à New York (…) On s’est contenté d’en rire mais il ne l’a jamais ressorti, son buzzer (…) c’était un petit plouc qui apprenait vite ».
Sunrise
La reconstitution par Guralnick de l’enregistrement de “That’s Allright” au studio Sun tenu par Sam Philips (rétropectivement un des moments les plus importants du rock’n’roll, là où rhythm’n’blues et country ont fusionné pour donner ce truc électrisant et sexy) est savoureuse : « soudain, raconta Scotty Moore, Elvis s’est mis à chanter cette chanson. Il sautait partout et faisait l’imbécile. Bill a attrapé sa basse et s’est aussi mis à faire l’idiot. Je me suis mis à jouer à mon tour. La porte de la cabine, il me semble, était ouverte. Sam devait monter une bande ou quelque chose comme cela. Il a sorti sa tête et demandé : “qu’est-ce que vous fabiquez ?”. On a répondu : “on sait pas”. “Eh bien, reprenez, a-t-il déclaré, essayez de vous caler sur le début et recommencez” ».
Il existe dans le commerce un excellent double disque, Sunrise, qui compile tous les enregistrements d’Elvis chez Sun : “That’s Allright”, “Blue Moon” ou “Mystery Train” avec les versions sorties en single sur le premier CD et les autres prises sur le second. Quelque chose d’assez fort et brut s’en dégage toujours. On y entend aussi “My Happiness” et “That’s When Your Heartaches Begin”, les deux faces de l’acétate qu’Elvis vint enregistrer en juillet 53 à ses frais (moins de 4 dollars). S’accompagnant de sa guitare malingre («comme si quelqu’un tapait sur un seau en fer blanc », se souviendra-t-il) il chante d’une voix pure et fragile. Terrible.
King Creole
lundi 26 novembre 2007
Madeleine du lundi (et des autres jours aussi) 2
vendredi 23 novembre 2007
Le Boumptéryx
jeudi 22 novembre 2007
Mauvais goût
mercredi 21 novembre 2007
La France de Serge Bozon
Bozon a eu l’idée d’un film de guerre itinérant. On suit ainsi une troupe de soldats pendant la 1ère guerre mondiale menée par un lieutenant joué par Pascal Greggory (magnétique), troupe que Camille (Sylvie Testud, quelle actrice) intègre, travestie en homme, bien déterminée à retrouver la trace de son mari, perdu au front. Malgré (ou à cause de) ce que ce court résumé pourrait suggérer, il ne faut pas s’attendre à un film haletant. La France évolue comme un bizarre western lunaire pas si loin de Dead Man, où la guerre est présente dans les têtes mais guère sur l’écran, où le vrai héroïsme est une notion (avec justesse) à plusieurs dimensions. Et puis Bozon n’a pas peur de changer de genre en plein film, instaurant des interludes musicaux décalés (la musique est de Fugu) qui conjuguent l’esprit de la pop anglo-saxonne(harmonies vocales) avec une touche intensément française et désuète.
Bien que je n’ai pas les références cinéphiliques qui me permettraient d’argumenter de manière implacable, je conseille vraiment d’aller voir ce film à celles et ceux qui ont envie de cinéma différent et ambitieux. L’image, œuvre de Céline Bozon, est scotchante d’où la rétention rétinesque que j’évoquais plus tôt.
mardi 20 novembre 2007
Miles Davis : On The Corner
La série des coffrets studio de Miles Davis est ce qui s’approche le plus, je crois, de ce fantasme de l’intégrale, d’une vraie Pléiade musicale. Chaque box s’attaque à une période du trompettiste alchimiste pour en dévoiler tous les secrets (ou à peu près) du processus créatif en réunissant les différentes prises, fausses pistes… Les années Coltrane (la période « bleue » si on veut, cf Kind Of Blue), la collaboration avec Gil Evans, le quintette, les débuts des années électriques (Bitches Brew)… dix coffrets sont sortis en tout (sans compter les compléments live dont le monstreux Miles At Montreux et ses vingt disques).
Ok, aucun n’est donné mais ils contiennent tellement de moments précieux. Car chez Miles, la musique est un flux (qui vient de l’intérieur), les à-côtés valent autant que ce qui a été édité sur les disques. Par exemple, sur le coffret Gil Evans (avec Sketches Of Spain), on entend Miles Davis ajouter un solo de “Miles Ahead” sur la bande déjà enregistrée (un « overdub »). Pendant une minute et demie, le timbre de sa trompette s’élève seul, fantomatique, et c’est magnifique.
Je ne vais pas me la jouer trop longtemps : je ne comprends pratiquement rien au jazz comme musique savante. Je sais juste quand il porte en lui de la vie et des émotions, quand il sent l’application et la leçon de solfège. En lisant les livrets touffus de ces coffrets (d'une précision à rendre fou Champollion), j’ai vaguement appris ce qu’était le « jazz modal » et d’autres choses déjà oubliées. Ecouter Miles Davis revient à à assister aux télescopages entre le concept et la force brute, la transcendance et la partition. Un geyser. Et cette comparaison a moins l’air gratuit qu’il ne le semble, surtout quand on aborde les dernières années intéressantes, la première moitié des années 70.
A partir de Bitches Brew, Miles a éclaté la notion de groupe pour constituer une sorte de collectif électrique qu’il dirige en maître. On dit de lui qu’il a inventé le jazz-rock. Pourtant, Bitches Brew, enchevêtrement sonore des plus complexes, ne mérite pas cette étiquette. Aucune étiquette d’ailleurs… Miles ensuite tente d’imiter Sly & The Family Stone ou James Brown, à sa manière, exigeante. C’est ce qu’on entend sur le coffret On The Corner : envoyant chier les puristes du jazz, il fait d’un bassiste funk d’une vingtaine d’années (Michael Henderson) son bras droit et se concentre sur un groove à la fois physique et abstrait, sec et chaud. Le point de rencontre entre Fela, Can et James Brown, approximativement. A côté les années Warner des 80’s ont autant de saveur qu’un thé tiède d’entreprise. A noter que les morceaux d'On The Corner, de Big Fun et Get Up With It (les albums originaux correspondant aux sessions du coffret On The Corner, c'est pourtant simple à comprendre) sont réunis sur le dernier CD.
Dans son autobiographie, Miles écrivait (ou dictait à Quincy Troupe) :
"Ce que je jouais sur On The Corner n'avait pas d'étiquette, même si certains pensaient que c'était funk faute de savoir l'appeler. C'était en fait la combinaison de certains concepts de Paul Buckmaster, Sly Stone, James Brown et Karl-Heinz Stockhausen, et de certains concepts que j'avais absorbés dans la musique d'Ornette (Coleman) aussi bien que dans la mienne. Cette musique traitait d'espace, de libre association d'idées musicales à une sorte de noyau rythmique et de traits de basse".
PS Pour ceux qui ont peur du premier pas, le mieux (et moins couteux) est sans doute de s’attaquer à Dark Magus, double live de 1974 titanesque – du funk apocalyptique, démentiel, industriel, pas moins.
lundi 19 novembre 2007
Madeleine du lundi (et des autres jours aussi) : Westworld
http://www.myspace.com/westworldbeatboxrnr
jeudi 15 novembre 2007
Koma avancé
mercredi 14 novembre 2007
Once, jolie guimauve
Ces gens ont vécu une belle histoire qui ne s’est pas achevée au moment du tournage. Invités au festival de Sundance l'année dernière, ils ont compris au fil des jours (et au fur et à mesure que les réactions enthousiastes leur parvenaient) qu’il valait mieux retarder leur vol du retour parce qu’ils allaient avoir un prix. Et puis Glen et Marketa qui ont aussi un projet musical (The Swell Season, pas génial) sont vraiment tombés amoureux, malgré ou à cause de leur différence d’âge.
Once n’est pas très rock’n’roll et si vous ne supportez pas les ballades folk crève-cœur un peu guimauve, vous allez avoir envie de gerber. Il faut cependant reconnaître que Hansard a une sacrée voix, Irglova aussi (il suffit de voir plus bas leur prestation dans la neige). Moi, même si je joue au dur, j’ai un cœur tendre donc ces bluettes me touchent les cordes sensibles. J’ai honte, c’est comme ça. Ici, un extrait de leur showcase au Réservoir (Paris), showcase qu'ils avaient conclu par une reprise de “Cactus” des Pixies !
Vic Chesnutt
Comme le disait WillSheff d’ Okkervil River (en première partie) : ‘entre l’enfer et le paradis ».
Vic Chesnutt joue ce soir à Rèze (44) et demain à Rouen.
lundi 12 novembre 2007
De Villiers
Je n’ai pas l’habitude de faire la voiture balai (même dans les soirées). Avec six mois de retard, je viens pourtant de lire Ma Mère était une très belle femme de la dessinatrice sud-africaine Karlien de Villiers paru aux éditions "ça et là". J’en avais entendu parler chez Appollo (qui lui-même peut-être…) Depuis que Trondheim, David B et Satrapi ont donné avec talent dans le genre autobiographique, on a pu être saoulé par toute la cohorte d’ouvrages auto-complaisants, égocentriques ou larmoyants qui ont suivi. Entre ceux qui n’ont rien à raconter et d’autres qui le font mal, il y avait de quoi dégoûter a priori de toute tentative dans ce sens. Ce qui n’empêche pas de saluer, à l’inverse, un livre comme Ma Mère était une très belle femme qui échappe à la mollesse du tout-venant autobiographique par sa dureté. L’auteur nous plonge dans l’histoire de sa famille avec beaucoup de rigueur et de recul, montrant comment un couple peut se disloquer et nuire à ses enfants sans s’en rendre compte. Et puis il y a l’épaisseur du contexte, l’apartheid reflété par les yeux d’un enfant blanc afrikaner. Ça ne constitue pas du tout le sujet principal (qui reste l’histoire familiale) mais ça donne une force supplémentaire au récit, surtout à nos yeux d’européens. Voir ici et là des extraits d'un de ses carnets.
vendredi 9 novembre 2007
Jukebox : The Wombats
jeudi 8 novembre 2007
Sébastien Tellier
Quelles surprises nous réserve il ? On ne peut rien déduire de ce “Sexual Sportswear”. Une dernière chose : le remix de Sebastian, dans le style hâché/fracturé est assez irrésistible.
Deux vidéos pour finir, d'abord un extrait d'un étonnant spectacle donné avec l'artiste Xavier Veilhan, ça commence par une ritournelle bien connue pour partir en expérimentation scénique... Puis la vidéo de "Broadway" (et là son duo avec Christophe sur "La Dolce Vita" qu'il avait repris seul sur Sessions).
mercredi 7 novembre 2007
2 albums de 2008
Pour patienter (et je ne suis pas le seul, hein, mr Dumez ?) on peut écouter ici une autre cover de Dylan, “Stuck Inside Of The Mobile With The Memphis Blues Again” contribution à la BO de I’m Not There, le faux biopic de Todd Haynes. Car, oui, Dylan fait partie des obsessions de Chan Marshall. Quand je l’avais rencontrée pour The Greatest lors d’une agréable interview, il y a deux moments où elle avait été vraiment très passionnée : quand elle m’a décrit presque amoureusement son petit-déjeuner et lorsqu’on a parlé de Dylan qui jouait le soir même à Paris.
Citation : «Je l’ai vu huit fois depuis que j’ai quinze ans. Pour rire, j’ai demandé s’il pouvait me faire jouer dans des petits endroits près des salles où Dylan donne des concerts, dans des petits théâtres, sur le trottoir d’en face, n’importe où, pourvu que je puisse le suivre. Oui, j’ai aimé chacun de ses shows. Ce que je préfère dans le film de Scorcese (No Direction Home), ce sont les interviews récentes de Dylan. Je ne sais pas qui était avec lui mais c’est quelqu’un avec qui il se sent bien. Dylan ressemble à un gars normal, on le voit juste comme il est, il parle tranquillement »
mardi 6 novembre 2007
Spirou, Chaland, Yann et Schwartz
En demandant à des auteurs comme Dodier (Jérôme K Jérome Bloche) de s’approprier les fameux personnages*, les éditions Dupuis ont entamé une tentative de déniaisement qui n’est pas sans me déplaire. Avec le tandem Yann-Schwartz, elles vont plus loin puisqu’on y verra Spirou cirer littéralement les bottes de nazis ! Le regret tient au timing : cette histoire aurait pu sortir il y a près de vingt ans, dessinée par Yves Chaland pour le cinquantenaire de Spirou (en 1988). Le créateur du Jeune Albert et Yann avaient en effet bien avancé sur ce même projet lorsque un changement à la tête de Dupuis mit fin un terme à ce rêve (pour laisser champ libre à Tome et Janry, des artistes avec un « a » minuscule en comparaison). On retrouve la genèse de cet épisode avorté (Le Groom vert-de-gris), dans Les Inachevés de Chaland, beau coffret datant maintenant de 1993, au prix pas donné mais il le mérite (c'était le cadeau de Nöel de l’année dernière d'un dessinateur pas trop "ligne claire").
Chaland aura vu ses projets de reprise de Spirou interrompus trois fois, la première datant de 1982, Spirou au Bocongo publié pendant un an en strips dans le journal de Spirou avant d’être injustement interrompu. Il faut dire que la publication simultanée d’épisodes signés Chaland, Tome et Janry et enfin par Nic Broca et Cauvin devait perdre un peu les jeunes lecteurs.
Ce Spirou « bénéficiera » de quatre éditions pirates avant d’en avoir une vraie, une belle, avec les deux volumes de Cœurs d’acier, dont l’un était inédit (Spirou et Fantasio n’y sont pas nommés pour des raisons de droit). Cœurs d’acier, depuis, a enfin été adoubé et figure, bien que l’histoire soit restée inachevée, dans un album hors-série de Spirou chez Dupuis (ainsi que dans l'intrégrale de Chaland), deuxième volume non compris. A la relecture, on retrouve l’ironie chère à Chaland dans ce magnifique Spirou en bichromie où les à-côtés (une indigestion, etc. ) prennent le pas sur l’action principale.
Revenons à Spirou au service des nazis (mais bien sûr résistant caché). Yann a apparemment ressorti le scénario mis au point avec Chaland. Au vu des premières planches dévoilées sur le site http://www.expressbd.com/ , même si ça ne sera pas du Chaland, Olivier Schwartz (interviewé en avril par l’excellent site De Klarelijn International, consacré comme son nom l’indique à « la ligne claire »), assure quand même grave (même si ça ne sera pas du Chaland… dont les fans seront bien avisés, si ce n’est pas encore le cas, de fréquenter cet endroit).
*N’ayant pas lu cet album, je n’en dirai rien.
We Want Saul (Williams)
Je m’égare. Révélé par le film Slam, il a sorti deux albums puissants, entre hip hop et rock, avant-garde et groove qui lui ont assuré un début de reconnaissance. 1er novembre, il lâche The Inevitable Rise And Liberation Of Niggy Tardust !, conçu avec Trent Reznor de NIN qu’il considère comme un “grand frère”. Imitant Radiohead, il propose de le télécharger pour 5 dollars ou pour rien (http://www.saulwilliams.com/) “Survivalism Opalhear”, le premier morceau à écouter sur sa page myspace sonne exactement comme l’addition « Saul Williams + Nine Inch Nails ». Ce qui, vu la forme récente de mr Reznor n’est pas non plus très encourageant. Mais je crois en Saul.
www.myspace.com/saulwilliams
Correctif :
Le premier novembre dernier alors que la plupart s’apprêtaient à célébrer la Toussaint ( ?), je piaffais d’impatience en ouvrant mes mails. Car après s’être acquitté de 5 dollars, il fallait attendre cette date fatidique pour télécharger en très bonne qualité The Inevitable Rise And Liberation Of Niggy Tardust ! (on peut aussi le downloader pour rien). Un album qui me fait mentir : la fusion entre la voix de Saul et les guitares rageuses chères à Mr Trent « I need a autobronzant » Reznor, entre son flow hypnotique et les colifichets synthétiques fonctionne, formant un magma sonore qui sert de manière bouillante le militantisme poétique et tenace de Saul. La reprise de "Sunday Bloody Sunday" (oui, de U2) s’avère assez attachante (même si anecdotique sur le fond). Sommets de l’album, “Niggy Tardust” ou “Black History Month”.
Pourtant l’instant pas de vidéo. On se contentera de rappels furieux, d'abord "Lists Of Demand", coup de poing d'il y a deux ans, puis "Coded Language", un des sommets du répertoire poétique de Saul qu'il a interprété ici il y a déjà pas mal de temps sur fond de scary drum'n'bass (celle de DJ Krust, collègue de Roni Size - que font-ils d'ailleurs tous ceux là, ils tournent en boucle ?). On retrouve ensuite "Coded Language" acapella, exécuté lors du Def Poetry Jam avec en guise de présentateur Mos Def.
Enfin, ici
Ici, un extrait de concert tout en crescendo apocalyptique avec Zach La Rocha à la batterie.
vendredi 2 novembre 2007
Pietrolino, la déception
Ce qui est frustrant, c’est qu’il y a plus à dire de la génèse du livre que du livre soi-même. En effet, Jodorowsky avait écrit le scénario pour le Mime Marceau qui devait le transformer en spectacle. Faute de financement, il ne sera jamais monté et l’histoire de Pietrolino a dormi pendant une dizaine d’années avant d’être proposé à Olivier Boiscommun.
Ici pour voir des images du livres.
jeudi 1 novembre 2007
Jukebox : Mando Diao
Plus bas, la vidéo du premier single, entre vidéo de surf et Pierre La Police, ici d'autres titres enchanteurs à écouter. Plus, pour ceux qui se sentent l'âme de fans en puissance, ici le quartier général de leurs fans français.