Parfois, on a besoin de ça : un single, un refrain, un gimmick, un refrain, des roulements de batterie, des paroles astucieuses. "Let's Dance To Joy Division" ne passera peut-être pas l'hiver (peut-être que si), pour l'instant il faut profiter de cette petite boule d'énergie d'indie rock sans prétention qui arrive après la bataille. Never mind. Quant à l'album, bien qu'il soit moins fulgurant, il est aussi décomplexé. Ici et là du son.
vendredi 9 novembre 2007
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9 commentaires:
En parlant de Joy Division, as tu vu Control ? je n'ai pas trouvé de chronique concernant ce film dans ton blog.
Merci
Hé non, je n'ai pas vu. Je devais le voir en juin pour les projos de presse et la liquidation de l'éditeur de RS a dû me faire oublier la date. Ensuite, je ne me suis pas motivé.
Un film que tu a vu ?
Je vais voir s'il est encore projeté près de chez moi...
Pour les nostalgiques de cette époque qui veulent retrouver la beauté sombre de la musique de Joy Division
Apparemment, l'acteur principal Sam Riley est assez incroyable...
à l'écoute du single, je me suis dit ouais bon ça sonne comme plein d'autres choses, et ça rocke moins que les artic monkeys. Finalement, ça fait un quart d'heure que le refrain me tourne en tête donc c'est plutot réussi.
Je m'en vais écouter le reste. pis on est presque voisins maintenant, faut que je m'intègre.
Hello Glorb. Oui, pas original mais très entêtant. Comment ça presque voisins ? Explique !
rien de spécial, liverpool c'est pas bien loin de chez moi, voila tout. :)
AAAH oui. Je croyais que tu avais déménagé près de Paris !
Ah oui non pas vraiment, j'ai déménagé en dessous de Manchester dans une petite ville, autant dire que ça ne me rapproche pas de la capitale et que je ne me sens guère concerné par les grêves qui ont l'air de tourmenter paris.
Marrant d'ailleurs comme en prenant du recul géographiquement ça change toute la vision del'information qu'on peut recevoir sur un pays. :)
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