J’avais parlé de ce livre dans la fastidieuse série de mes livres de vacances, il est temps d’en remettre une couche vu qu’il est maintenant disponible et toujours réussi…
Avec son nom emprunté à la trame harmonique la plus utilisée par les jazzmen, Twelve Bar Blues ne ment pas sur ce qu’il est : un hommage au jazz, à l’âme que saxophonistes, trompettistes, etc. ont transmis à des millions de pistes sonores. Le livre s’ouvre ainsi sur l’enfance de Lech Holden, cornettiste fictif à qui Neate prête un destin tragique et une amitié furtive avec Armstrong – pas l’homme sur la lune mais celui à la la trompette et à la voix... ah, cette voix, "We have all the time in the world for love..."
Avec son nom emprunté à la trame harmonique la plus utilisée par les jazzmen, Twelve Bar Blues ne ment pas sur ce qu’il est : un hommage au jazz, à l’âme que saxophonistes, trompettistes, etc. ont transmis à des millions de pistes sonores. Le livre s’ouvre ainsi sur l’enfance de Lech Holden, cornettiste fictif à qui Neate prête un destin tragique et une amitié furtive avec Armstrong – pas l’homme sur la lune mais celui à la la trompette et à la voix... ah, cette voix, "We have all the time in the world for love..."
Je m'égare.
Rectificatif, Twelve Bar Blues démarre en Afrique, dans le Pays de la Lune sur les destins croisés et entremêlés de Zike, le chanteur à la voix envoûtante, et Mutela, sorcier. Arrivent ensuite et en alternance Lech, sa sœur, Tongo le chef de village et Mussa (autre sorcier), une anglaise « couleur café au lait » qui a arrêté de gagner sa vie comme call-girl, une chercheuse américaine, … Ces personnages ne se croisent rarement dans ce livre choral bien ficelé. Neate nous balade d’une époque à l’autre dans une quête de l’âme noire qui court sur deux siècles, et mêle humour et poésie. Neate, qui anime la soirée Book Slam (littérature, spoken word…) aurait pu y aller molo avec les métaphores mais son récit, au parfum d’un Bird éclaté, est assez enivrant. Et donne envie d’écouter des cuivres, de la soul, du blues...
Rectificatif, Twelve Bar Blues démarre en Afrique, dans le Pays de la Lune sur les destins croisés et entremêlés de Zike, le chanteur à la voix envoûtante, et Mutela, sorcier. Arrivent ensuite et en alternance Lech, sa sœur, Tongo le chef de village et Mussa (autre sorcier), une anglaise « couleur café au lait » qui a arrêté de gagner sa vie comme call-girl, une chercheuse américaine, … Ces personnages ne se croisent rarement dans ce livre choral bien ficelé. Neate nous balade d’une époque à l’autre dans une quête de l’âme noire qui court sur deux siècles, et mêle humour et poésie. Neate, qui anime la soirée Book Slam (littérature, spoken word…) aurait pu y aller molo avec les métaphores mais son récit, au parfum d’un Bird éclaté, est assez enivrant. Et donne envie d’écouter des cuivres, de la soul, du blues...
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