Ça fait longtemps qu’un disque de Prince ne provoque plus l’événement. Après une décennie faste, on s’est habitué depuis l’incident du Black Album à la redescente de celui qui a eu les mains en or. Certes, il donne toujours des concerts incroyables (les veinards de Londoniens et pas mal de fans français le vérifieront en août). A part ça, faut s’habituer à être déçu ou alors content qu’il répète ses vieilles recettes. Les deux derniers étaient passables, faisaient illusion deux semaines avant de rejoindre le bataillon de tous ces disques sacrifiés depuis le triple Emancipation. Que sauver depuis ? Crystal Ball (qui contenait surtout des vieilles raretés piratées à mort) et The Rainbow Children. A part ça…
Mi-juillet prochain, Planet Earth. En exclusivité, les impressions de mon indic Bob le Dingue sur les 10 titres :
« un album très efficace, le plus pop depuis longtemps. Un son très FM, inspiré par ce qui marche (j’ai pensé aux infâmes The Killers ou U2 le temps d’un riff, celui de “Guitar”), une resucée de “I Could Never Take The Place Of Your Man” (“The One U Wanna C”), “Pop Life” joué à la moitié de sa vitesse (“Future Baby Mama”), l’habituelle ballade jazzy trompette bouchée (“Somewhere On Earth”), un rap funky à la “Mr Cab Driver” (“Mr Goodnight”), une envolée rock dramatique un peu à la Queen (le morceau d’ouverture). Il y a aussi un morceau disco très efficace mais complètement impersonnel, “Chelsea Rodgers”) »
Merci, Bob. Mention spéciale à la pochette, bien laide. Il lui faut vraiment un directeur artistique...
Mi-juillet prochain, Planet Earth. En exclusivité, les impressions de mon indic Bob le Dingue sur les 10 titres :
« un album très efficace, le plus pop depuis longtemps. Un son très FM, inspiré par ce qui marche (j’ai pensé aux infâmes The Killers ou U2 le temps d’un riff, celui de “Guitar”), une resucée de “I Could Never Take The Place Of Your Man” (“The One U Wanna C”), “Pop Life” joué à la moitié de sa vitesse (“Future Baby Mama”), l’habituelle ballade jazzy trompette bouchée (“Somewhere On Earth”), un rap funky à la “Mr Cab Driver” (“Mr Goodnight”), une envolée rock dramatique un peu à la Queen (le morceau d’ouverture). Il y a aussi un morceau disco très efficace mais complètement impersonnel, “Chelsea Rodgers”) »
Merci, Bob. Mention spéciale à la pochette, bien laide. Il lui faut vraiment un directeur artistique...
4 commentaires:
J'ai du mal à le croire. Enfin le retour de Prince ? À chaque fois on nous refait le coup du "c'est du super cette fois ci!" et il suffit d'écouter un morceau pour ressortir Sign of the Times ou 1999. T'as intérêt à ce que cette prédiction se vérifie, sinon je fais un autodafé de Harry Dickson couverture Nicollet.
Oup la, non non, je ne vais pas te survendre ce nouveau Prince. Apparemment, il est juste comestible et périssable. Pendant un moment, je me disais qu'il pourrait revenir au top mais ça n'arrivera plus. J'y ai même cru mais plus maintenant...
Un autodafé ? Hum, drôle de méthode.
Tu préfères que je les lise, méchant bonhomme.
Oui et que tu en fasses des cauchemars, ah ah ah...
Le mieux serait que tu retombes sur un Librio à deux euros avec deux aventures dedans... On pourrait en reparler après.
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